Confidentialité et cookies : ce site utilise des cookies. En continuant à naviguer sur ce site, vous acceptez que nous en utilisions.
Pour en savoir plus, y compris sur la façon de contrôler les cookies, reportez-vous à ce qui suit :
Politique relative aux cookies
L’UNION DÉPARTEMENTALE DES SYNDICATS FORCE OUVRIÈRE DIT NON À LA GUERRE
Les travailleurs ne sont pas des ennemis, quel que soit le pays où ils sont nés et où ils travaillent. Par contre, ils sont toujours les victimes à grande échelle des guerres décidées par les gouvernements et leurs donneurs d’ordres que sont les capitalistes à la tête des multinationales.
« LA GUERRE ? UN MASSACRE DE GENS QUI NE SE CONNAISSENT PAS, AU PROFIT DE GENS QUI SE CONNAISSENT MAIS NE SE MASSACRENT PAS ! » (PAUL VALERY).
Les travailleurs meurent pour des intérêts qui ne sont pas les leurs. Là en Ukraine pour des sphères d’influence des impérialismes américains et russes, pour le marché du gaz et pour d’autres intérêts économiques. Quel que soit le pays, la France, la Russie, l’Ukraine, les États-Unis, les capitalistes exploitent la classe ouvrière. Il y a un mois, les troupes russes sont intervenues au Kazakhstan pour écraser la révolte ouvrière sans qu’aucune des puissances capitalistes ne proteste contre cet écrasement sanglant d’ouvriers soulevés contre les conséquences des privatisations. Biden, Poutine, Macron sont prêts à faire cause commune pour faire passer les privatisations au Kazakhstan comme en Russie, en France ou aux États-Unis.
« ON CROIT MOURIR POUR LA PATRIE, ON MEURT POUR LES INDUSTRIELS » AVAIT CONSTATÉ ANATOLE FRANCE – C’EST HÉLAS TOUJOURS D’ACTUALITÉ.
Halte aux massacres, halte à la course aux armements. Les budgets militaires explosent, les capitalistes se gavent comme jamais en cette période de covid, alors que les besoins des travailleurs et de leurs familles sont totalement ignorés. Nous ne voulons plus mourir pour les exploiteurs. Il faut recruter des personnels soignants dans les hôpitaux, remplacer les profs absents, développer les services publics, augmenter les salaires et les pensions, pas faire la guerre et défendre la sécurité sociale gravement attaquée et que partout les droits collectifs et sociaux soient les droits majeurs pour tous.
NON à la guerre, solidarité avec les travailleurs ukrainiens, leurs familles, leurs syndicats, la paix la seule solution. Le 24 février 2022